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Les malades précieux, esika ya ba nkoma ya kosakana
17 décembre 2013

60 ans de la littérature congolais (rive droite) à la Galerie du Congo (Paris 7)

Le mardi 10 décembre dernier à Paris, dans le 7e arrondissement, j'ai eu le plaisir de participer à une table ronde pour célébrer les 60 ans de la littérature congolaise. Invité par des frères déjà auteurs (deux ouvrages minimum chacun), c'est avec joie que j'avais accepté cette invitation, ne sachant pas à quelle sauce nous, participants à ladite table ronde, allions être mangés par le modérateur, Martin Lemothieu.

Fin étincelante des 60 Ans de la littérature congolaise

Il faut dire que ce dernier est un spécialiste, un vrai, un fin connaisseur des lettres congolaises. Ce n'est pas un imposteur qui va raconter sa vie. Ce n'est pas non plus à lui qu'on peut venir raconter la sienne. Si vous n'avez jamais lu un auteur Congolais, il vous détectera très vite. 

Autour donc du modérateur, il y avait de droite à gauche:

  • Zacarie Acafou, critique littéraire;
  • Virginie Mouanda-Kibinde, auteure;
  • Itoua Ndinga, auteur et comparatiste;
  • Obambe Gakosso.

Je vais laisser la parole à Franck Cana, lui-même auteur, qui va vous narrer cette soirée, avec son ressenti, lui qui n'a cessé de prendre des notes durant les prises de parole.

http://www.starducongo.com/Fin-etincelante-des-60-Ans-de-la-litterature-congolaise_a8783.html

Obambe GAKOSSO, December 2013

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Commentaires
Les malades précieux, esika ya ba nkoma ya kosakana
  • Nouvelles - Romans - Poèmes - Pièces de théâtre: Obambe Ngakoso vous partage ses coups de cœur. Rien que les livres qui me plaisent, qui m'ont plu. Le reste, je n'en parle pas. Je ne suis pas critique littéraire, juste un passionné des mots et des lettres
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