Au niveau du monde littéraire congolais, il y a Liss Kihindou qui a tellement de casquettes que j'aurai du mal à les citer toutes:
Professeure de français (collège);
- Romancière;
- Noveliste;
- Essayiste;
- Blogueuse;
- Chroniqueuse littéraire.
C'est dans le cadre de ces deux dernières activités que nnous allons parler d'elle aujourd'hui ou plutôt lui donner la parole. En effet, elle, si férue de belles lettres, si habituée des textes de qualité, a pris son temps pour lire le recueil de nouvelles Les malades précieux et l'a chroniqué sur son blog qui porte un nom fleurant très bon les belles lettres.
Avant de vous laisser entre les mains de Liss Kihindou, je reprends une partie de sa chronique pour répondre à son interrogation: Dans ces nouvelles, pour tordre le cou au Nord et au Sud, clivage qui gangrène la société congolaise, l’auteur parle plutôt de l’Est et de l’Ouest du pays. Ce recueil dont, personnellement, j’aurais choisi « Ma route de Loango » comme nouvelle éponyme, au lieu des « Malades précieux », se lit bien, mais les dernières nouvelles sont autrement plus succulentes que les premières. Les quatre ou cinq dernières gagnent en densité, elles ménagent une chute au lecteur, elles offrent un intérêt particulier en ce qui concerne la psychologie des personnages. Je ne sais si l’auteur les a présentés dans l’ordre chronologique de leur rédaction, mais plus on avance dans la lecture des nouvelles, plus le fond et la forme accrochent !
En fait, non, l'ordre s'est fait ainsi. Il ne respecte pas du tout l'ordre chronologique de rédaction...
Matondo Liss,
Ndzambi ka kusakumuna!
Le lien vers sa chronique, ici.
Obambe GAKOSSO, April 2014©